Littéraire dans l'âme #oupasjusteréaliste

Merci pour tout. Merci pour tout ce que tu as fait pour moi. Tu m'a fais pleurer, tu m'a fais rire, mais tu m'a surtout fait grandir. Je t'ai regretté, longtemps il est vrai. Mais au jour d'aujourd'hui, je te remercie d'être parti, car sans ton départ je n'aurais pas fait toutes ces erreurs, qui m'ont fait apprendre sur la vie. Je n'en connais pas beaucoup de cette vie. Mais pour l'instant ça me suffit. Tu connais ma plus grande peur. Et depuis le jour où tu es parti, elle n'a pas disparu. Elle est toujours présente. Comme toi. Sache que je ne t'oublie pas. Je ne te vois plus physiquement parlant. Mais mentalement parlant, je ne vois que toi.. Je sais qu'on se reverra. Mais dans longtemps, je l'espère. Car te revoir, me fera le plus grand mal. Je te souhaite, tout le bonheur du monde. Mais sans moi. Tu m'a déjà fait trop de mal. Je ne te demanderais plus qu'une seule faveur. La dernière et après je t'oublie. Du moins, j'essaierais. S'il te plait ne la fait pas souffrir comme tu m'a fait. Elle a l'air gentille et amoureuse de toi. Comme je l'étais en ces si bons moments partagés ensemble. Mais oublie-les, oublie-moi. Pour que je puisse enfin tourner cette foutue page. Une métaphore si simple à dire, si simple à sortir. Mais si difficile à faire. Crois-moi, elle t'aime.. Prends soin d'elle, comme jamais tu n'as pris soin d'une femme. Prends soin d'elle comme j'aurais voulu que tu prennes soin de moi. Je sais que je suis contradictoire. Mais ce que je ressens pour toi, ne pourras pas s'effacer. Du moins, c'est ce qui se dit à chaque fois, dans ces histoires là. Si seulement, je pouvais tenir de l'exception, tu sais, celle qui confirme la règle. Je veux être cette exception. Cette excpetion que seule toi pourrais aimé, et la seule que t'aimerais. Mais je sais. Je ne le suis pas. Il est aujourd'hui trop tard. Trop de mal a été fait. Le temps a passé. Je veux t'oublier. Trop difficile, alors oui, se résigner est ma solution de facilité. Mais dans mon plus profond désespoir, je me tiens à esperer que tu penses à moi. Mais je sais, ce n'est pas le cas. Je veux aujourd'hui rencontrer quelqu'un d'autre. Quelqu'un, avec qui j'aurais une meilleure complicité, que celle que j'avais avec toi. Aussi difficile que soit cette rencontre, je l'attends avec impatience. J'attends cette personne, qui pourra me rassuré, et qui pourra m'aimer, peut-être même plus que toi tu m'a aimé, si facile que se soit. Enfin, là, à ce moment, je pourrais me rassurer, et me dire, qu'enfait, tu n'étais qu'un passage dans ma vie. Certes un long passage.